Il effectue son service au 139°RI depuis octobre 1913, caporal le 8 août 15, sergent le 21 mars 16, tué dans la Somme le 16 septembre 1916.
Denis, le cadet, est menuisier, il est incorporé pour son service en octobre 1913, il est porté disparu le 22 août 1914 en Belgique. Joachim, l'ainé, est charpentier, mobilisé en août 14, il est blessé à son poste d'artilleur le 28 septembre 1918 et meurt le 6 octobre d'une septicémie suraigüe dans un hôpital parisien après son évacuation.
Cavalier au 13° dragon d'Agen meurt d'intoxication par gaz asphixiant ennemi à l'ambulance 1/60 de Mourmelon le Petit.
Louis et Léon tous deux dispensés de service pour être les fils ainés d'une veuve sont appelés en 14 et décèdent de blessures de guerre en 1915 pour Louis et en 1914 pour Léon.
Louis est cultivateur et appartient à la classe 15, il est incorporé en décembre 1914. Le 29 avril 1915 il est au front. Il meurt après avoir été blessé en avril 1918 dans la Somme après 3 ans de guerre.
Il est étudiant en droit au moment de son service militaire. Citation :" A brillamment entraîné sa section à l'assaut des lignes ennemies le 7 juillet 1917, est tombé glorieusement à quelques mètres de la tranchée à conquérir, frappé d'une balle en plein coeur après avoir abattu plusieurs Allemands à coup de revolver."
A sa mobilisation en août 1914, Ernest est cordonnier à Paris, il a 31 ans. Il disparait lors des combats du Mont Haut son décès est fixé au 17 juillet 1917 par un jugement du 11 novembre 1919.
Mobilisé l'année de ses 40 ans, il est domestique de ferme et père de famille. Il est tué aux Hurlus le 20 décembre 1914. Inhumé à Souains (Marne) tombe n° 2223.
Menuisier à Cabrerets, au front à partir de novembre 16. Il a 21 ans quand il est mortellement blessé en Belgique le 7 mai 1918.
Dans le civil il est marchand de porcelaine. En juin 16, volontaire pour une mission de reconnaissance et malgré un feu intense il participe à repousser dans les lignes un adversaire supérieur en nombre et aide à ramener le corps d'un de ses camarades. Il est tué au Bois le Prêtre quelques mois plus tard.
Ce cultivateur, mobilisé en août 14, caporal en août 15, il meurt d'une blessure par éclat d'obus avec lésion du cerveau. Citation : "Caporal brave et dévoué, a été blessé le 10 avril 1916 tandis qu'il dirigeait un transport de matériel dans un secteur violemment bombardé."
Citation : "Soldat d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve. A assuré le 10 février pendant l'exécution d'un coup de main la liaison avec le groupe le plus éloigné du poste de communication. Effectuant à 4 reprises un long trajet dans des boyaux soumis à un violent tir de barrage ennemi."
Cultivateur, Arnaud est incorporé pour son service militaire fin décembre 1913, il est soldat de 1° classe, il est tué à l'ennemi le 4 septembre 1916 dans la Somme.
Eugène Maurice Montel (et non Montet) est cultivateur. Il meurt d'une plaie au mollet compliquée d'une gangrène gazeuse en 1918. Citation : "Bon soldat d'une belle conduite au feu. Le 3 juin 1918 a largement contribué à repousser plusieurs attaques ennemies."
Paul est employé de commerce, il est sous les drapeaux en août 14, il est blessé à la tête le 5 septembre et subit une trépanation. Après un an de convalescence, il est maintenu comme infirmier. Il meurt de la grippe espagnole en septembre 1918.
Charpentier, appelé au 2° génie en avril 17, tué le 11 novembre 1918.
Léon l'aîné est mobilisé fin 14, en avril 15 il est au front, il est blessé en juin et nommé caporal en octobre 15. Il meurt de ses blessures par éclat d'obus en mai 16 à Avocourt. Marius le cadet est incorporé en janvier 16, il est au front en février 17, évacué blessé par éclat d'obus en août 17, il est versé dans l'artillerie en juin 18, évacué malade en octobre, il meurt en janvier 1919 à Héronville.
Cultivateur, mobilisé dès le 3 août, il est tué dans les vosges le 23 août ou le 15 novembre 1914, les documents officiels se contredisent.
Victor meurt en captivité en Saxe à 32 ans.
Décédé en captivité la veille de noël 1918
Cimetière de Saint Romain, Adrien l'ainé est porté disparu le 29 août 14 et Clément le cadet est tué d'une balle au ventre 18 jours plus tard.
Mobilisé le 3 août, il sert au service intérieur jusqu'au 18 mai 1916, aux armées (au front) le 19 mai 1916, il meurt de ses blessures par obus le 25 mai 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze. Un secours d'urgence de 150 fr est payé à sa veuve en septembre 1917.
Etudiant en chirurgie dentaire, mobilisé en août 16, au front en mars 17, tué aux éparges en juillet 17
Etudiant en droit, appelé en 1915 il est classé "service auxilaire" pour des problèmes cardiaques, en octobre 1917 il est jugé apte, il meurt de maladie contractée en service à l'hôpital d'Annecy en juillet 1918.
Au front le 12 août 1914, disparu, "décédé antérieurement au 29 avril 1915, inhumé par les soins des autorités Allemandes. Sépulture inconnue"
Il est garçon de café mobilisé à 43 ans en mars 1915, caporal clairon réformé en juillet 1917 pour "Epilepsie d'origine constitutionnelle aggravée par 22 mois aux armées", décédé à Gourdon le 23 janvier 18.
Mort à l'hôpital de Lyon le 23 décembre 1914 d'un phlegmon du cou provoqué par une balle, il avait 40 ans.
Mobilisé en août 1914, blessé au thorax le 25 juillet 1916 dans la Meuse, il décède de ses blessures à l'ambulance le 26 juillet.
Etudiant, mobilisé en décembre14, versé aux services auxiliaires après avoir eu les pieds gelés dans les tranchées en 15, décédé en juin 19 de tuberculose pulmonaire et "fatigue du service"
Cultivateur rappelé le 13 août 1914 à 40 ans. Il est tué à Perthes les Hurlus en mars 1915. Sépulture 4533 à Suippes.
Cet agriculteur est mobilisé en 1915, il fait ses classes dans le Puy de Dôme, il y tombe malade et meurt en Septembre 1915 avant de partir au front..
Tombe d'un réfugié décédé dans le village en 1918
Cimetière de Costeraste
Cimetière de Prouilhac
Mobilisé à 34 ans, tué en septembre 1915 dans le Pas de Calais
Mobilisé en août 14 il meurt de ses blessures à Appremont en juin 15 à 37 ans
Dans le cimetière une pierre-hommage, le corps de ce soldat repose dans le cimetière de Notre Dame de Lorette, sépulture n°15 463
Cimetière de Saint Chignes, 29 ans, artilleur, mort pour la France le 17 mai 1918 dans l'Oise.
Décédé en 1922 des suites de guerre, à l'âge de 29 ans.
Soldat de 2ème classe, mort de ses blessures.
Mort de maladie en septembre 1918 à 46 ans alors qu'il servait comme marinier.
Citation "Excellent mitrailleur très brave au feu. Tombé glorieusement en se portant sous un violent bombardement à son poste de combat"
Joseph Polycarpe est chapelier dans le civil, lieutenant au 7° RI, tué à l'ennemi le 12 février 1915.
Léopold et Emile, tous deux tués au combat en avril 1917.
Gaston était mineur, il est incoporé en 1915 à 19 ans dans le génie, il meurt en avril 1918, dans la Somme, d'une grave blessure par éclat d'obus
Robert, caporal, est tué en 1914 dans les Vosges et Paul, sergent, en 1918 à Verdun.
Pendant son service militaire, Henri Delteil est clairon, il disparait sur le champs de bataille le 24 août 1914, son décès est prononcé en 1920
Engagé volontaire dans l'infanterie coloniale en 1898, il participe aux campagnes du Tonkin, du Sénégal et du Maroc entre 1904 et 1913. Lieutenant, il est tué le 26 août 1914 à la Marfée en menant sa section à l'assaut.
Etudiant, engagé volontaire en avril 17 comme 2° canonnier, il décède d'une congestion pulmonaire en mai 17.
Calmon est meunier, il part le 12 août 1914 et tombe à Lacroix sur Meuse, il est enterré à la Nécropole Nationale de cette commune, tombe 873
Il est appelé en septembre 14, il fait 2 mois de classe, en novembre il est au front, il est caporal quand il meurt de ses blessures.
Prisonnier à Bayreuth de 1915 à janvier 1919, il décède à l'hôpital militaire quelques mois après son retour.
Tailleur de pierre, Landrevie fait 4 ans de guerre dans le génie et mourra d'une congestion cérébrale dans la Meuse...
Il est agriculteur et en mauvaise santé, il est emporté par une maladie pulmonaire en janvier 1919 à l'hopital d'Agen...
Capturé en septembre 14, rapatrié en décembre 18, Jean Fajolles serait décèdé en novembre 19 selon sa fiche matricule, son frère Laurent est mort de maladie contractée en service en février 19.
Elie, ajourné pour faiblesse en 16, part au front en avril 18, il est tué début août ; Eugène est caporal depuis 1914, il meurt des suites de ses blessures à Craonne en 17.
En 1923-1924, les armées Belges et Françaises occupent la Rhur pour obliger les Allemands à respecter les accords financiers du traité de Versailles.
Incorporé le 12 août 1914 au 7°RI, il meurt de ses blessures le 27 septembre à Saint Jean sur Tourbes.
Tué à l'ennemi devant Verdun, après presque 2 années au front.
Alfred est cultivateur, mobilisé début août il est tué sur la côte 200 à Perthes en février 1915.
Fils de paysan, Julien est fait prisonnier en mars 15 à Perthes les Hurlus, il meurt de maladie lors de son rapatriement.
Mobilisé dès le mois de septembre, il est tué après plus de 3 ans de campagne
Maintenu réformé pour faiblesse et maladie jusqu'en 17, il est finalement mobilisé et meurt au front le 2 août 18 (selon sa fiche matricule) dans l'Aisne.
Cimetière de Rignac, fusilier-mitrailleur au 83°RI, Croix de guerre : "A été tué à son poste alors qu'il pousuivait par un tir bien ajusté la retraite de l'ennemi."
Canonnier au 57°RAC, mort à Toulouse des suites de maladie contractée en service
Porté disparu dans le secteur de verdun en juillet 1916 alors qu'il sert au 54° RI
Saint Cyrien, militaire de carrière, 2 citations, capitaine tué en entrant dans un tranchée allemande lors d'un assaut.
Ce boulanger, plusieurs fois ré-engagé au 7°RI après son service militaire, mobilisé en 14, sous-lieutenant en août, blessé en septembre, lieutenant en octobre, tué en décembre au cours d'un assaut
Tué à l'ennemi à la Tête de Faux en Alsace
Après un long parcours de réforme en 14, de mobilisation en 15, de maladie, de blessure, ce domestique agricole meurt d'une pneumonie le 9 novembre 18.
Citation : "Jeune soldat dévoué et courageux. Le 19 octobre 17, étant soumis à un bombardement toxique a continué à servir sa pièce jusqu'au moment où il est tombé évanoui." Il meurt d'une congestion pulmonaire.
Engagé en 1913 pour servir dans la cavalerie, il est au front durant toute la guerre, tué à l'ennemi en Belgique le 26 avril 18
Capitaine de vaisseau sur le vapeur Niemen, disparu lors du torpillage de ce vaisseau
Citation : "A toujours été un vaillant soldat faisant constamment preuve de courage et de dévouement.Tombé glorieusement pour la France."
Prisonnier, réformé en 1920 : "gastro-entérite chronique à forme grave, état général mauvais"
Auguste est maçon, il est déjà au 2° tirailleur Algérien à la déclaration de guerre, tué à Crouy-en-Thelle le 14 septembre 1914
Fils unique d'une veuve, incorporé le 20 décembre 1914 à Mirande, décédé le 18 janvier à l'hôpital de Mirepoix, avant d'avoir 20 ans.
Paul habite à Paris en 1913, il est mobilisé le 3 août 1914, au front le 8, tué le 18 à Petitmont
Cimetière de Meyraguet, cultivateur mobilisé le 12 août 1914, il est tué à l'ennemi le 19 octobre à l'âge de 31 ans.
Cultivateur, fait son service au 2° zouave, campagne en Algérie en 1907, mobilisé le 12 août 1914, tué en septembre 1916
Marquis de Lavalette-Baraigne, originaire de l'Aude engagé volontaire, il meurt de maladie contractée en service en décembre 1918.
Mobilisé le 12 août 1914, nommé adjudant le 2 octobre 1915, son décès se situe entre le 8 et le 12 octobre devant Souchez dans le Pas de Calais (selon sa fiche matricule).
Mineur de fonds à St Bressou, il effectue son service au 2° zouave et participe à la campagne d'Algérie entre 1908 et 1910. Mobilisé au 14° RI le 3 août 1914, il est caporal le 10 février 1915 puis sergent le 14 février 1916, il est tué au bois de Cumières le 7 mars. Croix de guerre, étoile de bronze.
Né à Cahors et propriétaire à Teyssieu, il est mobilisé dans les zouaves en janvier 1916. Il est à l'arrière jusqu'en février 1918, blessé en octobre 1918, il meurt de ses blessures le 14 à Dormans en Champagne.
Il est cultivateur.En août 14 il effectue son service au 1er Zouave à l'étranger. Le régiment rentre en France le 14, le 24 septembre il est blessé. Il retourne au front le 12 décembre et est évacué le 17 après une autre blessure. Détaché en usine en 15, puis au 9° zouave en septembre 16 il est tué le 24 juin 17.
Ce cultivateur blessé à Perthes les Hurlus succombe à ses blessures à 39 ans. Médaille militaire et citation.
Ajourné pour faiblesse en 1905 et 1906, mobilisé pour les services auxiliaires en novembre 1914, réformé en mars 1915 pour bronchite, décédé le 18 mars 1915 d'une pleurésie purulente.
Sa fiche matricule précise qu'il est boucher et sait tuer, il est rappelé le 3 août 14, il meurt en Belgique le 22 août.
Jean est menuisier, il est appelé en décembre 14 à 19 ans, il reste à l'arrière jusqu'en mars 15, date à laquelle il gagne le front où il sera tué 5 mois plus tard à Perthes les Hurlus.
Ce cultivateur est appelé début août 14 au 207°. Grièvement blessé à son poste de combat il meurt des suites de ses blessures et d'une maladie contractée aux armées..
En 1912 Paul est limonadier à Paris, il a participé à des combats en Algérie 4 ans plus tôt lors de son service, il est rappelé en août 14 et est tué à Beauséjour en mai 1916.
Rémy est meunier, bien qu'appartenant à la classe 16 il est appelé en avril 15, il passe par les 80°, 143° et 137° RI, il est tué à l'ennemi en mai 17, il est inhumé dans les tranchées où il a combattu près de Troyon (Aisne).
Quand la guerre éclate en août 14 il ne restait à Etienne que 2 mois de service à accomplir, il est tué fin septembre. La date de décès qui figure sur la plaque est la date de transcription dans l'état civil..
Fils d'un négociant bordelais il devance son appel de 2 ans et incorpore l'armée en 1911 à Bordeaux. Il meurt le 1er février 1917 d'une intoxication au gaz dans les combats du secteur de Mourmelon. Il était adjudant.
Etudiant en sciences, Maurice bénéficie d'un sursis en 14, suite à la déclaration de guerre il est incorporé comme 2° classe en septembre 14, il monte rapidement en grade, il est adjudant quand il est mortellement blessé à Arras le 17 juin 1915.